D’après Mamadou Racine Sy face a cette situation actuelle des conséquences peuvent avoir sur le plan social, car ils ne peuvent pas continuer à maintenir le personnel en activité alors qu’il n’y a pas de clients. De ce fait, il y’aura des gens mis en chômage technique ou partiel. « Nous somme obligés de prendre, à notre corps défendant, des mesures pour protéger l’outil de production. La situation appelle des mesure énergiques », a-t-il soutenu.
Cependant, il ne s’agira pas de se débarrasser des employés, tout se fera dans les règles de l’art. « Les directeurs des ressources humaines vont se rencontrer rapidement pour nous proposer des mesure sociales de nature à endiguer la situation sur le plan social. Nous avons un devoir moral vis-à-vis de nos personnels ; nous ne pouvons pas les traiter comme du bétail, car ce sont des collaborateurs et ils ont droit a notre respect », d’après Mr Sy. Une position partagée par ses collègues. « Dans chaque hôtel, nous avons des centaines d’employés qui sont inquiets ; nous feront le maximum pour sauvegarder les emplois qui peuvent l’être », a renchéri Mamadou Sow. Dans la même veine, Ibrahima Ngom, de l’hôtel Ngor Diarama, a souligné la nécessité de maintenir les liens avec les employés et d’éviter toute rupture brusque.