Le ministre du pétrole et des énergies est passé, le 13 mars 2020, au haut conseil des collectivités territoriales ( hcct). Pour lui, l’équité sociale ne sera réalisée qu’avec l’accès universel à l’électricité ; ce qui nécessite des investissements estimés à 631 milliards de Fcfa.
Durant deux jours d’horloge, le ministre du pétrole et des énergies, Mouhamadou Makhtar Cissé, a dialogué avec les membres du haut conseil des collectivités territoriales. Il le fallait, compte tenu << du caractère stratégique du secteur dans le processus d’émergence >>, selon Aminata Mbengue Ndiaye, présidente du Hcct. L’exposé du ministre a été axé sur l’équité sociale. Un aspect fondamental qui interpelle les pouvoirs publics. De ce fait, sur 21170 villages et hameaux recensés, 4138 ont été électrifiés en fin 2018; sur une population rurale estimée à 8,6 millions d’habitants, seuls 4,4 millions ont accès à l’électricité et sur les 14 régions du pays, neuf présentent un taux de couverture supérieur à 60%.Kédougou et Kolda étant respectivement à 12 et 27%.
M. Cissé a fait part de la volonté de l’Etat de bâtir un réseau performant et propre. Ainsi, <<52% des localités seront raccordés à travers le réseau électrique de moyenne tension (74% de la population concernée); 32% seront électrifiés à partir du système photovoltaïque individuel, (8% de la population concernée), et les 17% restants seront alimentés avec des mini- centrales solaires à partir de leur propre réseau>>, a -t-il indiqué.
D’ailleurs, la recherche de ces fonds devrait faire l’objet d’une rencontre, en fin mars, avec les ministères des finances et du budget, de l’économie, du plan et de la coopération, ainsi que des partenaires financiers et des acteurs du secteur privé. Selon M. Cissé, une continuité des efforts de l’Etat pour l’équité sociale en matière d’accéder à l’énergie. Il en veut pour preuve l’harmonisation des prix du kilowatt heure et le fixage à 665 fcfa sur toute l’étendue du territoire. A l’instar du projet d’électrification par voie solaire de 120 structures sanitaires situées dans les zones rurales du bassin arachidier de Fatick, Diourbel, Kaolack et Kaffrine.
Durant deux jours d’horloge, le ministre du pétrole et des énergies, Mouhamadou Makhtar Cissé, a dialogué avec les membres du haut conseil des collectivités territoriales. Il le fallait, compte tenu << du caractère stratégique du secteur dans le processus d’émergence >>, selon Aminata Mbengue Ndiaye, présidente du Hcct. L’exposé du ministre a été axé sur l’équité sociale. Un aspect fondamental qui interpelle les pouvoirs publics. De ce fait, sur 21170 villages et hameaux recensés, 4138 ont été électrifiés en fin 2018; sur une population rurale estimée à 8,6 millions d’habitants, seuls 4,4 millions ont accès à l’électricité et sur les 14 régions du pays, neuf présentent un taux de couverture supérieur à 60%.Kédougou et Kolda étant respectivement à 12 et 27%.
M. Cissé a fait part de la volonté de l’Etat de bâtir un réseau performant et propre. Ainsi, <<52% des localités seront raccordés à travers le réseau électrique de moyenne tension (74% de la population concernée); 32% seront électrifiés à partir du système photovoltaïque individuel, (8% de la population concernée), et les 17% restants seront alimentés avec des mini- centrales solaires à partir de leur propre réseau>>, a -t-il indiqué.
D’ailleurs, la recherche de ces fonds devrait faire l’objet d’une rencontre, en fin mars, avec les ministères des finances et du budget, de l’économie, du plan et de la coopération, ainsi que des partenaires financiers et des acteurs du secteur privé. Selon M. Cissé, une continuité des efforts de l’Etat pour l’équité sociale en matière d’accéder à l’énergie. Il en veut pour preuve l’harmonisation des prix du kilowatt heure et le fixage à 665 fcfa sur toute l’étendue du territoire. A l’instar du projet d’électrification par voie solaire de 120 structures sanitaires situées dans les zones rurales du bassin arachidier de Fatick, Diourbel, Kaolack et Kaffrine.
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